Beaucoup se disputent la ville de Jérusalem comme la ville sainte ou veulent en créer une autre, mais « Jérusalem » signifie « ville du Shalom », soit la ville de la joie, de la paix et de tout bien.
Là où il y a la
guerre et la division, il n'y a pas de « Shalom », donc
la Jérusalem terrestre n'est pas la ville de Dieu, et aucune ville
ne peut l'être si ses habitants ne mettent pas en pratique
l'enseignement de Jésus.
Pour cela, Jésus nous a indiqué, par son enseignement et par son exemple, le chemin vers la Nouvelle Jérusalem, le royaume de Dieu qui apporte joie, paix et tout bien, où il n'y a plus de temples d'idoles, où chaque homme et femme est temple de Dieu-Père, et qui se manifeste partout où une communauté de personnes pratique l'enseignement et l'exemple de Jésus.
Donc la Nouvelle Jérusalem n'est pas un lieu spécifique, mais c'est Dieu lui-même avec tous ses fils, ceux qui pratiquent l'enseignement de Jésus, où qu'ils soient.
Celui qui pratique l'Evangile de Jésus n'est pas mort et vivra car
« Vous ne vous êtes pas approchés à un lieu palpable, à un feu qui s'est consumé, ni à obscurité, ténèbres, ouragan, ni à son de trompette et bruit de voix ; ceux qui l'entendirent refusèrent d'écouter davantage la parole. Car ils ne pouvaient supporter cette injonction : Qui touchera la montagne - fût-ce une bête - sera lapidé ! Et si terrifiant était ce spectacle que Moïse dit : Je suis terrifié et tremblant.
Mais vous vous êtes approchés de la montagne de Sion et de la
ville du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, et des myriades d'anges
en réunion de fête, et de l'assemblée des premiers-nés, dont les
noms sont inscrits dans les cieux, et de Dieu, le juge de tous, et
des esprits des justes parvenus à l'accomplissement, et de Jésus,
médiateur d'une alliance neuve, et du sang de l'aspersion qui parle
mieux encore que celui d'Abel. Veillez à ne pas refuser d'entendre
celui qui vous parle ! Car s'ils n'ont pas échappé au châtiment
lorsqu'ils refusèrent d'entendre celui qui les avertissait sur la
terre, à plus forte raison nous non plus n'y échapperons pas, si
nous nous détournons de qui nous parle du haut des cieux. Lui, dont
la voix ébranla alors la terre, fait maintenant cette proclamation :
Une dernière fois je ferai trembler non seulement la terre mais
aussi le ciel. Les mots une dernière fois annoncent la disparition
de tout ce qui participe à l'instabilité du monde créé, afin que
subsiste ce qui est inébranlable. »
Pour cela, Jésus nous a indiqué, par son enseignement et par son exemple, le chemin vers la Nouvelle Jérusalem, le royaume de Dieu qui apporte joie, paix et tout bien, où il n'y a plus de temples d'idoles, où chaque homme et femme est temple de Dieu-Père, et qui se manifeste partout où une communauté de personnes pratique l'enseignement et l'exemple de Jésus.
Donc la Nouvelle Jérusalem n'est pas un lieu spécifique, mais c'est Dieu lui-même avec tous ses fils, ceux qui pratiquent l'enseignement de Jésus, où qu'ils soient.
Celui qui pratique l'Evangile de Jésus n'est pas mort et vivra car
« Vous ne vous êtes pas approchés à un lieu palpable, à un feu qui s'est consumé, ni à obscurité, ténèbres, ouragan, ni à son de trompette et bruit de voix ; ceux qui l'entendirent refusèrent d'écouter davantage la parole. Car ils ne pouvaient supporter cette injonction : Qui touchera la montagne - fût-ce une bête - sera lapidé ! Et si terrifiant était ce spectacle que Moïse dit : Je suis terrifié et tremblant.
(Hébreux 12,
18-27)
« Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es un prophète. Nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous affirmez qu'à Jérusalem se trouve le lieu où il faut adorer. » Jésus lui dit : « Crois-moi, femme, l'heure vient où ce n'est ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l'heure vient, elle est là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; tels sont, en effet, les adorateurs que cherche le Père. Dieu est esprit et c'est pourquoi ceux qui l'adorent doivent adorer en esprit et en vérité. »
« Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es un prophète. Nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous affirmez qu'à Jérusalem se trouve le lieu où il faut adorer. » Jésus lui dit : « Crois-moi, femme, l'heure vient où ce n'est ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l'heure vient, elle est là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; tels sont, en effet, les adorateurs que cherche le Père. Dieu est esprit et c'est pourquoi ceux qui l'adorent doivent adorer en esprit et en vérité. »
(Jean 4, 19-24)
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